Je hais le cinéma indien. C’est comme ça, je n’y peux rien. Je trouve ça gnangnan, culcul la praline, trop long, trop de chansons, trop de pluies, trop de larmes, trop de « aaaargh je meurs, mais je pense toujours à toi ». J’ai pourtant essayé. Je me...